Historique
De la légende à l'histoire...
Shaolin et Bodidharma?
Le temple de Shaolin est devenu un lieu de pèlerinage pour les pratiquants d'arts martiaux. Boddhidharma qui était un patriarche Bouddhiste y aurait enseigné les premières techniques d'arts
martiaux. Il était le prince d'une petite région du sud de l'Inde. L'Empereur de Chine invita Boddhidharma à lui rendre visite. Il partit ensuite pour le Temple de Shaolin où il y resta jusqu'à la
fin de ses jours vers 540. Dés son arrivée à Shaolin, Boddhidharma constata que les moines étaient d'une mauvaise condition physique due à leur manque d'exercices.
C'est ainsi que le Kungfu Shaolin a ensuite développé les techniques du tigre, du léopard, du dragon, de la grue et du serpent. |
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Le Kempô est un art martial chinois de combat sans arme, introduit à Okinawa au XVIe siècle, qui a probablement été pratiqué dès le VIIe siècle par les religieux bouddhistes du Shaolin Si. D'abord appelé jiadoshu, puis kaiko (sous influence mongole), il devint le kenyu ("art du poing") puis KEMPO. Le kempô est une discipline martiale complète, qui peut s’envisager sous un aspect sportif allant jusqu’au contrôle complet de l’adversaire ou sa mise hors combat, ou comme un art martial au sens premier du terme, que d’aucuns nomment aujourd’hui self défense. Dans les deux acceptions, il faut insister sur la notion d’engagement, fondamentale en kempô. C’est en effet tout l’être qui agit : - physiquement : en aucun cas le kempoka ne recule, il se désaxe, ou -le plus souvent- il pénètre l’attaque ; - mais aussi mentalement, conséquence de l’engagement physique, la dimension psychologique est fondamentale. |